-Génial.
La réaction était froide, aussi froide qu'un glaçon qui coule dans le dos. Je ne me retournis même pas. Nous oubliez? La bonne affaire.
-Maintenant, essaye de te souvenir...
Je continuais mon chemin, sans plus un regard derrière moi.
- Que le fait d'être mort fait effectivement de toi quelqu'un de différent. Tu m'as dis que tu ne ressentait plus d'émotion? Ca me va.
Puis je partis, convaincue, droit devant moi. Peu importe qu'il m'est sauvé la vie. Peu importe ce que j'ai pu ressentir pour lui. Il était temps de reprendre ma bonne vieille méthodologie.
- Oublie le fait qu'on est pu être ami. Je n'ai pas d'ami.
Depuis que j'étais arrivée à Averonn, je m' était ouvert au autres, leur laissant une place dans un coeur déjà trop petit. Reverence me vit avançer vers les rues, serrant le livre contre ma poitrine.