Détentedifficile

Ce que j'avais entendu me triturait l'esprit, tandis que je marchais droit devant moi, dans un froid que je n'avais pas senti depuis bien longtemps. J'aime voyager de jour.

-P****, p*****, p******!

Le vent me faisait du bien. Le frois détent le cerveau, et l'ame. De plus, avec un sifflement pareil, on ne s'entend même plus penser.

J'aimais l'odeur des fleurs du park. Roses, tulipes, pétunia. Dommage que la nuit ne me permette pas de les voir.

- Tu as de gros pieds. Tu n'es ni silencieux, ni inodore. Tu n'es pas venu pour me tuer, mais ce n'est pas pour autant que j'aurais confiance.

Je me retournais vers la dite personne.

Je m'arrête. Des gros pieds, moi?
Mon regard se pose sur cette petite louve méfiante. Moi aussi je l'avais remarquée. Comment ne pas voir cette sympathique coiffure colorée? J'aime bien toutes ces couleurs, c'est joli. Mais reviens sur terre, Compassion. Elle a peut-être l'air jeune, mais si elle porte cette massue, c'est qu'elle sait s'en servir. Donc, prudence, prudence.

"Salut, à toi aussi"

Je relève la tête vers le ciel. Les étoiles sont très belles, ce soir. Comme le soir où j'ai rencontré Mariella. Mais je n'ai pas envie d'y repenser. Pas aujourd'hui.
La petite louve ne m'a pas lâché du regard et sa main empoigne sa massue avec résolution. T'es prévenu, mon gars.
C'est pas avec ce silence que je vais arriver à me vider la tête. C'est pourquoi je demande:

"A tout hasard, t'aurais pas du feu?"

Elle réfléchit. Moi aussi. Parce que je viens de réaliser: un vampire qui demande du feu alors qu'un des seuls moyens de le tuer, c'est l'immolation, ça peut donner des idées...

-Seulement si tu as une cigarette pour moi.

Je souriais. Pas d'hormones dans l'air, donc pas de réelle agressivité, donc pas la peine de garder la posture d'attaque. Je relachais ma massue pour m'approché du saigneur.

-Etonnant qu'un vampire ne tente pas d'attaquer en la présence de son ennemi naturel, dis d'un air désinvolte, en sortant un briquet. T'aurais même l'air sympa.

Je l'allumais et lui tandis la flamme.

-Belle nuit, pas vrai?

"Oui. Superbe."

Je lui tend mon paquet et la laisse choisir. Elle me remercie d'un signe de tête et l'allume. Elle tire avec soin une première bouffée et souffle un nuage de fumée bleutée avec une satisfaction évidente. Ca m'arrache un sourire en coin. C'est toujours agréable de trouver quelqu'un capable d'apprécier les petits plaisirs, et qu'elle soit lycante ne me dérange pas. Elle aussi à l'air plutôt sympa. En tout cas assez pour filer du feu à un vampire solitaire. Pour la première personne que je rencontre, je suis bien tombé. Mais ne te laisse pas
abuser par sa coupe de cheveux, même si elle est décidément super. Tate un peu le terrain, avant de faire confiance à n'importe qui.

"Moi aussi, je trouve ça un peu bizarre que tu me préviennes au lieu de m'attaquer. T'as souvent l'habitude de causer avec les vampires?"

Elle sourit un peu. Est-ce que c'est bon signe, ça?

-Oui, mais la dernière fois, c'était pas spécialement la joie, si tu vois où je veux en venir.

La cigarette me réchauffais suffisamment pour que je ne frisonne plus. Mes yeux devait transparaitre si la nuit était aussi obscure. Je me demande pourquoi il n'avait pas réagis au vert fluo qui couronnait mes orbites.

-Et toi? T'as pas l'air d'avoir trop eu de désillusion, tu sais. Tu viens d'arriver, je parie? T'es pas forcément tombé au bon endroit, pas forcément non plus au bon moment. si un jour ton clan et mon clan décide de s'entre tuer, j'hésiterais peut etre, mais pas assez pour te laisser le temps de faire de même.

Un autre sourire ironique trona sur ma face.

-Néanmoins, sache que tu ne risque rien de moi, pour l'instant.

Je lui tandis un objet sur la paume de ma main.

-chewing gum?

Maitre de la Troupe Nombre de messages : 280 Date d'inscription : 27/11/2007

Caché entre les feuilles d'un arbres je les observais en souriant.

*Tout espoir n'est pas encore perdus... Je ne cesse d'en avoir de nouvelles preuves.*

Puis je partais, en direction des égouts. Caché par l'ombre.

"J'veux bien. Merci"

A vue de nez, goût fraise. Ca fera du bien à mon haleine.

"Bof. Mourir ne m'effraie pas trop. Mais c'est vrai que j'aurais un peu de mal à te tuer, moi aussi."

Et pourtant, j'ai déjà une petite idée de comment je m'y prendrais. Deux balles d'argent. Entre les yeux.
J'écrase sèchement mon mégot contre ma paume. Ne pense pas comme ça. Arrête de penser comme un tueur. La petite louve a l'air légèrement étonnée de me voir me mutiler ainsi. Je vais passer pour un maso, maintenant. Bravo, Compassion. Chapeau.
Un long soupir m'échappe et mon regard se perd à nouveau dans les étoiles. Quel étrange personnage tu as fait de moi, Mariella...
Je gobe le chewing-gum en essayant de penser à autre chose. Allez, haut les coeurs. Tu as rencontré quelqu'un de sympa, avec une coupe de cheveux vraiment obsédante. Je jette un coup d'oeil vers elle. A en juger par la petite étincelle dans son regard, on dirait bien que je l'amuse quand même. Tiens, marrantes, ces lunettes. Ca lui donne un air un peu allumé. Ca va bien avec ses cheveux, en tout cas. Mais méfie-toi un peu quand même, Compassion. Elle l'a dit elle-même: elle n'hésitera pas longtemps, si besoin est...

-Hum... Comme tu veux... C'est un rituel, de s'écraser le mégots dans la main?
Je jetais le mien à terre et l'écrasais de mes grosse bottes.

-Toi non plus tu n'hésiterais pas à me tuer, hum?

Le silence du vampire me suffit en réponse.

-tu sais, on parle de se tuer depuis tout à l'heure, mais on ne connait meme pas nos noms respectifs... Moi, c'est Azriel, mais appelle moi Krom. et toi?

Je machais à présent un chewing gum à la pomme. Mes canines inférieurs et supérieurs bien rentré dans ma bouche, je le jaugeait du regard. Un peu plus grand que moi, l'oeil amuser. Très assuré sur sa personnage. Relativement amical. Les cheveux très clair à blancs.

-Tu as au moins 100 ans. D'après ton odeur, je dirais que tu étais un tueur méthodique car le sang qui t'a un jour touché n'était que en gouttelettes. tu as l'odeurs de plus de 50 personnes, de part ce sang. Tu tues donc des humains mais aussi des lycans. Et je crois deviner un ou deux vampires. J'ai tort?

Mon flair est infaible là dessus. Maintenant, sa réponse me permettra de vraiment le situer.

Je la regarde et lève un sourcil. Plutôt habile, cette petite.Et d'après son petit air triomphant, elle attend la confirmation. Je soupire. Je n'ai pas envie d'en parler, mais je fais quand même cet effort :

"Méthodique, si tu le dit. Tueur, sûrement. Ce que tu sens, ça vient du front russe, pendant la Seconde Guerre. Stalingrad en particulier. Je n'étais pas vampire depuis très longtemps, à ce moment-là. J'avais du mal à gérer ce changement, et ça m'a rendu extrêmement violent. Alors, je suis allé là où ma folie passerait inaperçue."

Les souvenirs ressurgissent de ma mémoire. Et voilà. Après toutes ces années passées à tenter d'oublier...Allez, maîtrise-toi. C'est du passé, tout ça. Je peux tourner la page, maintenant.
Je respire un grand coup. Vite, parlons d'autre chose. Tiens, mais ça me revient : elle m'a dit son nom, à l'instant. Dois-je faire pareil?
Les conseils de Mariella me reviennent en tête : ne donne jamais ton nom à la légère, car il est une partie de toi. C'est vrai, oui. Révéler mon nom à Azriel, c'est sceller notre rencontre. Après ça, je ne pourrai plus revenir en arrière. Elle ne sera plus une simple lycante parmi d'autre, et moi non plus. Et puis, c'est une marque de confiance. Est-ce que je peux vraiment lui faire...
Oh, et puis merde!

"Mais je préfère laisser mon passé là où il est. Pour toi, je pense que mon nom te suffira."

J'hésite un quart de seconde, puis je lui tend ma main.

"Dans une autre vie, tu aurais pu m'appeler Matitheyah, mais je pense que tu préfèreras Compassion."

Bon, bah, les dés sont jetés, on dirait.

Je serrais chaleureusement la main de Compassion,avec le sourire le plus sincère que je ne m'étais jamais connu.

-La vie est dure. Mais crois moi, il n'y a toujours un truc pour la rendre meilleur. Comme le Kiri, par exemple!

Je montrais mes belles dents dans un sourire d'enfant.

-Enfin, tu sais, le pire dans tout ça, c'est que la seconde guerre n'a rien changer, on est toujours en train de s'entre tuer pour un oui ou pour un non... alors...

Je jouais avec mon atébat verte en disant cela. J'y avais jamais pensé, tiens...

-Pourquoi ne me parlerais tu pas de ton futur... ou de ton présent? Pourquoi es tu venu ici? Que comptes tu y faire?

Devant ce grand sourire de gamine, je ne peux pas faire autrement que de sourire moi aussi. Marrante, cette opinion sur le Kiri. Personnellement, je préfèrerais une bonne pinte de bière ou de sang, mais bon. Chacun son truc.

"Oh, en ce qui concerne mon futur, pour l'instant, je voudrais juste me trouver une piaule vivable. Le reste, j'aviserai."

C'est vrai que je n'aime pas me prendre la tête avec ce qui pourrais m'arriver. Ca me perdra, sans doute...

"En fait, je suis venu ici parce qu'on m'avait parlé de cette ville et du genre de créatures qui y vivaient. Même si je suis assez discret, je me suis dit que ce serait pas plus mal si je côtoyais d'autres personnes comme moi, en cas de pépins. T'es pas vraiment le genre à qui je pensais le plus, mais ça me va aussi."

Elle sourit. On dirait que le compliment lui plaît. Tant mieux. Elle m'est de plus en plus sympathique. Mais j'éviterais de trop la taquiner, avec son apparence enfantine. Pour une raison simple et bonne :

"Sympa, ta massue."

-Spaciba? merci. Elle est plus vieille que moi mais m'est toujours aussi utile. surtout les nuits de noir lune.

Mon sourire disparut pour laisser place à un visage serein.

-Pour ce qui est d'une piole plus où moins agréable, je te conseille les quartiers moyens, voir riches si tu as de quoi payer. Mais évite les quartiers pauvres au possible; tout les lycans n'ont pas ma raison et ma distinction. Vois tu, ils ont même tendance à avoir la morsure facile... tiens, en parlant de ça.. Où est ton arme?

Un sourire d'excitation et une soudain poussée d'adrénaline me fit tourner la tête, me rapelant que le ciel serait noir demain.

-Que dirais tu d'un duel amical? On ne se tue pas. on peut s'égratiner à la rigeur. A celui qui tombera le premier. Tu n'es pas obliger d'accepter, bien sûr.
Je souriais à nouveau de manière amicale, pour lui monter que je n'avais aucune mauvaise intention.

Pour la première fois depuis cette rencontre, je souris de manière à découvrir mes dents. Mes canines blanches et pointues étincèlent à la lueur de la nuit. Les choses prennent une tournure comme je les aime.

"J'accepte, Krom. Je n'aime pas me défiler. Tu permet ?"

Je retire mon manteau pour être plus à l'aise et prend la précaution de décharger mon Beretta. On ne sait jamais, dans le feu de l'action...
Je déguaine mon poignard et annonce en la regardant droit dans les yeux :

"Allons-y!"

Le sourire de Krom s'élargit lui aussi. Elle rejette sa massue sur le côté, s'arme également d'un poignard et se lance à l'assaut avec un grognement.
Je n'évite l'assaut qu'au dernier moment d'un bond calculé sur la droite et lui porte un coup à l'épaule.
Souple comme une liane, elle se dérobe et riposte en visant ma tête. Je dévie de justesse son attaque d'un coup de coude. Amical, a-t-elle dit ? Mais ce n'est pas grave. A la limite le combat me plaît mieux comme ça.
Visant la poitrine, je fond sur elle. Elle se prépare à parer mon coup, mais je change de trajectoire au dernier moment. Ma lame pointe dangereusement vers sa gorge.
Elle a assez de réflexe pour éviter le pire, mais y laisse une atéba. Zut ! Une rouge...
D'un bond, elle se met hors de portée, juste le temps de se ressaisir et repars à l'assaut avec un nouveau grongement, plus agressif cette fois.
Je la regarde venir avec excitation. Ma main se sert convulsivement sur le manche du poignard. D'autres images se superposent à ma vision. Des vieux souvenirs de Stalingrad, tous colorés de rouge...
C'est mauvais signe. Je commence à perdre le contrôle. Si je continue, je risuqe de blesser Krom. Dois-je m'arrêter là?
Mon regard s'anime d'une lueur démente. Non, certainement pas...

J'aime ce regard chez les gens. Il voulait dire qu'à présent, l'adrenaline allait les rendre plus fort. Plus amusant.

-Die die die my darling...

J'entonnais cette chanson pour fausser son ouie. Mes yeux se charge de l'élèctricité et de la violence que je dois contenir...

-...I WILL SEEN YOU AGAIN... IN HELL!!!

Je le chargais, visant son bras, furieuse pour mes cheveux en moins. Mon geste fut rapide et efficace. Je lui signais mon autographe: Un troisième oeil. Le souvenir de mon père. Le sang gicle, goutte un peu sur mon visage...

Je reculais dans une cabriole pour éviter les coups de lame furieuse de Compassion.

-Don't cry to me, oh baby...

Je fonçais à nouveau, sans calculer.. qu'il en fallait plus pour destabiliser un vampire. Il esquiva, m'attrapa par l'épaule, me retourna face à lui et je sentis une coupure vive sur ma joue droite et mon nez.
Je sortis de l'étreinte douloureuse en sentant un nouveau coupe, tranchant ma lèvre inférieur verticalement.

A une certaine distance de sécurité, je mis ma main sur les coupure. Rien de bien méchant, mais suffisamment douloureux pour ne pas pas passer inaperçu. Il était devenu fou ou quoi???

-Shoot your pretty eyes...

Les mots étaient sortis tout seul. Je jetais mon poignard et me ruait vers le vampire. Le ceinturant, je sentis un sifflement de couteau et senti mon front saigner. Je brisais ses deux côtes basses, griffais son dos et le mordis à l'artère pour l'empecher de respirer. enfin sonné, je m'appretais à le faire tombé quand...

Le combat allait être fini. J'allait le terrasser quand...

-Wahhh!!!!

Je glissais sur une branche et entrainais Compassion dans ma chute. nous tombimes en même temps.

-Poise! Dis je en me relevant. Ca va? J'ai cru que tu allait vraiment me crever, sur ce coup là!

Douleur. Aux côtes, au bras, au cou, au dos. Grande. Grande.

"Poise!"

Sang qui coule de mon bras. Douleur.

"Ca va? J'ai vraiment cru que tu allais me crever, sur ce coup-là!"

Douleur. Colère. Vengeance...

Je me reconnecte d'un coup à la réalité. Je suis allongé, par terre, j'ai mal un peu partout et Krom est au-dessus de moi, me regardant avec méfiance. Elle a de sales estafilades sur le visage. C'est moi qui ait fait ça.

"Oh, merde alors..."

C'est tout ce que je trouve à dire. Qu'y a-t-il d'autre à dire? Comment expliquer à Krom que j'ai basculé?

"Je suis vraiment désolé. Ca m'arrive parfois quand je m'échauffe trop. Là, tu vois, j'étais de retour à Stalingrad. Je ne t'ai pas trop amoché, au moins?"

Elle secoue la tête, indulgente. J'attends un peu que mes côtes se ressoudent en partie, puis je fais un mouvement prudent pour me lever. Elle m'aide avec précaution, mais je sens chez elle une certaine distance.
Houlà, pas bon. J'ai intérêt à me faire pardonner et vite. Je n'ai pas envie que ma première "amie" averonnienne garde une telle image de moi. C'est pourquoi, avant même d'avoir pu réfléchir aux conséquences de ce geste, je retire la chevalière en argent de mon majeur gauche et la lui tend, avec un sourire complice et un regard un peu gêné.

"Tu es plus forte que moi pour l'instant, donc je m'incline. Mais je viendrais peut-être la reprendre un jour..."

J'attrapais la bague comme une victuaille, et la mise à mon pouce, car c'était le seul doigt de ma main ou elle ne glisserais pas. J'attrapais moi même mon atébas et la lui tendit.

-Je suis tombé avec toi. Mais souvient toi: Je suis bien plus méchante lorsque c'est plus que mon honneur et ma vie qui est en jeu.

Puis, souriant à nouveau, comme si je ne sentais pas la douleur de ma lèvres, je lui lançait:

-Prie pour que ce ne soit jamais le cas.

Je ramassais ma dague et la rangeait à sa place.

-Je m'en vais. La nuit a été assez tourmenté et douloureuse pour mon alter ego...

Je lui fit un signe de main et je disparu dans les ténèbres, direction ma chambre. La journée va bientot se lever. Demain, je ne serais plus moi.

"Que me disait Papa, déjà? Ah oui, cinq atébas: trois foulards et les lunettes sur le keffié... Brrr... Avec lentilles... Je déteste les foulard et le keffié mais bon..."

Je la regarde partir, une main levée distraitement, un sourire en coin. Un regard sur ma blessure au bras m'apprent qu'elle a bientôt fini de cicatriser. Je ramasse donc mon manteau et mon arme, range mon poignard. Mes yeux reviennent aussitôt se perdre dans le ciel étoilé. Ma rencontre avec cette louve...c'est un beau souvenir.
Resserant mon col, je prend la direction des quartiers moyens d'un pas tranquille. La nuit est bien avancée, maintenant. La lumière lunaire est froide et je m'en grillerais bien une autre. Mais ces rayons de lune qui caressent ma peau réveillent une autre envie, en moi : celle du sang.
Ca me rappelle que Krom m'a mordu durant le combat. Je sens encore ses crocs dans ma chair. La marque aura disparue demain, mais la sensation, elle, ne me lâchera pas de si tôt. J'y passe deux doigts, en souriant. Elle mord presque aussi bien qu'un vampire. Normal, elle a des dents aiguisées ; et un super coiffure ; et un cou apétissant...
Mais non, redescends sur terre, sombre abruti. Tu sais par expérience que le sang des lycans est dégueulasse, alors pas touche à Krom.
J'ai toujours son atéba rouge dans la main. Je la regarde un instant, puis la range bien à l'abri dans une poche intérieure.

"Ce fut une belle rencontre, Krom Azriel..."

[et voilà le travail!^^]